Notre monde a changé, pas le leur

De NetDebout
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« La difficulté n’est pas de comprendre les idées nouvelles,
elle est d’échapper aux idées anciennes qui ont poussé leurs ramifications dans tous les recoins de l’esprit
des personnes ayant reçu la même formation que la plupart d’entre nous ».
KEYNES J.M., 1936.



De façon pratique, la situation parait assez claire :
  • notre sentience, c'est à dire notre perception des choses telles que nous les vivons
  • du paradigme actuel, c'est à dire l'état du monde tel que nous le voyons, à travers les média, la science, les ordinateurs, etc.


  1. s'essouffle face à la rapidité de sa propre expansion.
  2. se noie à utiliser des règles et des habitudes anciennes pour y répondre/


C'est le "choc du futur" documenté par Alvin Toffler dès 1970 [1] comme la maladie du siècle :
  • "trop de choses nouvelles,
  • en trop peu de temps".
  • sans les adaptations sociétales nécessaires.


Ce "trop" est celui de trop de complications :
la densité du maillage (complexus, en latin : web, en anglais) de nos simplifications nouvelles
qu'ils empètrent encore dans leurs complications anciennes.


  1. cinquante ans que nous devons survivre aux "vieux marchands" : il est temps de se prendre en main !


La politique est la science première pour savoir où aller et l'art de l'obtenir des hommes libres (Aristote). Aujourd'hui les Hommes Libres sont sur le net et pateaugent dans la datamasse.

C'est la Cobocratie en marche. La route de notre pouvoir passe par le contrôle et l'intelligence auxilliaire de nos machines.


Après le "Libre" des Développeurs, face aux "vieux marchands", le LIBRE CHOIX des utilisateurs.


SIMPLIFIONS TOUT CELA A LA RACINE !!!
Dépoussiérons les nouvelles technologies de la vieille économie !